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(M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum.

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Melwys Martell

« Melwys Martell »
Admin ‹ we will rock you

♦ date d'arrivée : 22/02/2014
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MessageSujet: (M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum. (M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum. Icon_minitimeVen 28 Fév - 18:02




alastair drake
citation, paroles, blabla, ce que vous voulez, ici.


NOM : drake. PRÉNOM(S) : alastair. ÂGE : vingt-sept ans.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE : date au choix, san francisco. ORIGINES ET NATIONALITÉ : nationalité américaines, origines libres. EMPLOI/ÉTUDES : actuaire au sein de l'entreprise d'informatique fondée par son père et celui de son meilleur ami, bien que son père à lui à été destitué de ses fonctions. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. SITUATION CIVILE : marié. CARACTÈRE : hautain ; sûr de lui ; dragueur ; ambitieux ; volage ; intelligent ; manipulateur ; extraverti ; déterminé ; dynamique . INSCRIT AU PROGRAMME TRUE ROMANCE ? : non, il a mieux à faire de sa vie. GROUPE : cherries jubilee. CÉLÉBRITÉ : sebastian stan. CRÉDITS : tumblr.



il est né dans une famille riche et plutôt réputée dans la ville de san francisco ; il a toujours été promit à un brillant avenir, il a toujours eu de bonnes relation avec son père. il a un frère aîné avec qui ça a toujours été compliqué, ce dernier ne voulant pas être simplement le pantin de la famille alors qu'Alastair a toujours été très attaché aux valeurs familiale, son frère a quitté le domicile très vite pour suivre sa propre voie. il n'est pas encore au courant, mais à l'âge de dix-neuf ans, il a eu un enfant, il n'a jamais su que sa partenaire était enceinte, il s'agissait de la sœur (spencer) de son meilleur ami d'enfance (melwys) et le secret est resté bien gardé au sein de la famille Martell. c'est un garçon qui s'est toujours donné beaucoup de mal pour réussi professionnellement afin que son père soit fier de lui, c'est quelque chose qu'il a plutôt bien réussi. récemment, sa famille a fait faillite à cause d'argent mal placé et des dépenses de son père, notamment dans les jeux, il était à deux doigts de faire couler l'entreprise qu'il avait fondé avec le père Martell ; finalement, il a été démit de ses fonctions pour essayer de contourner le scandale médiatique. les problèmes financiers de sa famille ont poussé le jeune homme à se rapprocher de Maysilee Williams, une fille avec qui il avait eu de très mauvais rapports état plus jeune, mais qui s'est avérée être l’héritière d'une grande fortune il a épousé cette fille dans le seul but de redorer le blason de sa famille, l'argent qu'elle possède a permit de rembourser les nombreuses dettes de son père et rapidement les Drake sont redevenus l'une des familles les plus riches de la ville. si sa femme a pendant un temps été très amoureuse de lui, de son côté, il n'éprouve pas le moindre sentiment pour la jeune femme, au contraire, il la trouve particulièrement stupide, heureusement pour elle, elle est plutôt jolie mais ce n'est pas ça qui l'empêche d'aller voir ailleurs. il est très appliqué dans son travail et il vise toujours plus haut, sans scrupule, il est du genre à oser le pire pour arriver là où il veut aller et si pour l'heure c'est Melwys qui est censé hériter un jour du poste de pdg de l'entreprise, il est bien sûr impossible pour Alastair de le laisser gagner si facilement. bien que sa relation avec sa femme n'est pas particulièrement romantique, récemment, cette dernière est tombée enceinte, une bonne nouvelle pour lui, après tout, à l'image de son père il a besoin d'un héritier.



melwys martell et alastair drake
« Je crois que je me ferais bien la petite blonde là-bas. » D’un signe de tête Alastair désigna une jeune femme seule, appuyée au bar. Elle était plutôt mignonne, c’était un fait. Cependant, il avait dû oublier quelque chose. S’ils étaient là ce soir, c’était pour son enterrement de vie de garçon. Bientôt il allait se marier. Il ne pouvait pas aller se taper la petite blonde appuyée contre le bar alors qu’il avait une fiancée. Peut-être que Melwys était vieux jeu ou bien trop idéaliste, mais pour lui, ce n’était clairement pas quelque chose qui se faisait. Il n’était pas doué en amour, ses conquêtes, étaient nombreuses, ses relations sérieuses, quasiment inexistantes, cependant, il avait encore la décence de penser qu’une fois engager dans une relation, on ne pouvait pas aller voir à droite à gauche comme ça. Il n’avait pas le droit de faire ça, pas à Maysilee. Elle était amoureuse, vraiment amoureuse. Il la connaissait depuis tellement longtemps qu’il le voyait dans ses yeux, dans son sourire ravi, cette fichue naïveté dont il n’avait pas réussi à l’en débarrasser quand il lui avait dit de ne surtout pas épouser Alastair. Il avait voulu la prévenir, elle n’avait rien voulu entendre. Elle l’avait rejeté, elle s’était lassée de cette amitié si particulière qu’ils avaient eu au fil des années, ce secret qu’ils avaient gardé pour eux deux tellement de temps. Aux yeux de tous, elle n’était que la fiancée de son meilleur ami, une connaissance, même pas une amie. En réalité, elle était bien plus que ça. Elle était sa meilleure amie, cette fille merveilleuse qui foncé droit dans le mur en épousant un homme tel qu’Alastair. Elle avait peut-être eu raison. Entre lui et elle, il y avait quelque chose qui n’allait pas, depuis longtemps leur amitié aurait dû sortir de l’ombre, sans doute que depuis longtemps ils auraient dû assumer, il aurait dû être celui qui lui passerait la bague au doigt. Il n’était pas un homme parfait ; il avait ses défauts, de nombreux défauts, mais s’il avait été sur le point d’épouser Maysilee, il ne serait pas en train de reluquer une petite blonde au fond d’un bar. Stupide Melwys. Il avait fallu que Maysilee et Alastair se mette ensemble pour qu’il réalise à quel point il aimait la jeune femme. Qu’est-ce qu’il avait pu faire après ça. Ils étaient ses deux meilleurs amis et pendant un temps, il avait cru que tous les deux, ils étaient heureux ensemble. Bien vite, il avait remarqué que la sincérité d’Alastair était bien limitée mais Maysilee était tellement amoureuse. Peut-être qu’il aurait dû la prévenir avant qu’elle ne lui annonce leurs fiançailles. « Et Maysilee dans tout ça ? » Son ami se contenta de hausser les épaules. Elle avait si peu d’importance à ses yeux que ça en devenait agaçant. S’il s’écoutait, il se serait déjà levé de sa chaise pour lui coller son poing en pleine figure. Il n’y avait que leurs longues années d’amitié qui semblaient être capable de retenir son geste. Une amitié qui lui avait été précieuse pendant toutes ses années et qu’il n’avait pas envie de perdre même si, le temps passant, il se rendait compte d’à quel point son ami pouvait parfois s’avérer être un véritable connard. « Tu crois vraiment que je l’épouse par amour ? C’est juste pour son fric, sérieux, elle est tellement débile. » Melwys pris une longue inspiration pour vraiment se retenir de lui en coller une. Il n’était pas d’un naturel violent, mais en vu des propos qu’il tenait, il méritait définitivement une correction. Les poings serrer avec force, il sentait ses ongles s’enfoncer dans sa peau et la petite voix au fond de son crâne ne cessait de lui dicter de se calmer. Finalement, il attrapa sa bière pour la vider d’un coup avant de se lever de sa chaise. « Où est-ce que tu vas mec ? » Attrapant sa veste le jeune homme haussa les épaules, il partait, loin d’ici, le plus loin possible, pour éviter à son ami de se pointer à son mariage – et quel mariage – avec un œil-au-beurre-noir. « Je rentre, je ne tiens pas à me mettre entre toi et la blonde. » Il esquissa un léger sourire avant d’enfiler sa veste. « Amuse-toi bien. » Il avait plutôt envie de lui dire d’aller crever en enfer, enfin, il retint ses mots avant de s’éloigner, de quitter ce maudit bar. Bien site, il s’alluma une clope, espérant que ça puisse, un peu le calmer, quel connard ce mec et dire qu’il allait épouser Maysilee, elle finirait par tomber de haut la pauvre, si seulement elle avait bien voulu l’écouter.

Sans prendre le temps de frapper à la porte du bureau de son ami, il entra dans la pièce ; il avait l’habitude d’agir ainsi et, il devait lui rapporter un dossier, maintenant c’était chose faite. Le dit dossier cependant termina bien vite au sol, alors que la surprise l’avait poussé à tout lâcher d’un coup. Il avait l’habitude de voir Alastair avec absolument n’importe quelle fille qu’il croisait et oubliant bien vite la femme qu’il avait épousé. N’importe quelle fille et jusqu’à présent lui, il avait fait preuve d’assez de maturité pour ne rien dire. Leur amitié était trop importante, dans quelques années, ils seraient à la tête de cette entreprise et s’ils ne voulaient pas qu’elle coule, ils avaient intérêt à garder de bonnes relations, mais là il avait dépassé les limites. Chaque, jour, il brisait un peu plus le cœur de Maysilee, régulièrement, il brisait ceux de femmes innocentes qui avaient eu la folie de se laisser berner par ses beaux discours. Il n’avait rien dit, il n’avait jamais rien dit, il pouvait s’envoyer en l’air avec n’importe qui si ça l’amusait mais certainement pas avec sa sœur. En le voyant débarquer dans le bureau, ils avaient tous les deux commencés à remettre leurs vêtements – heureusement il en avait vu assez pour toute sa vie là – et ils affichaient cet air gêné qui ne faisait qu’énerver d’avantage le jeune homme. Il avait lutté tellement de temps pour se retenir, cette fois ça en été trop. Sans réfléchir à ce qu’il faisait il s’était approché de son ami et enfin il avait laissé son poing s’abattre contre sa joue. Des années qu’il en rêvait mais qu’il se retenait pour préserver leur amitié. Mais quelle amitié ? Ils étaient clairement différents, c’était à peine s’ils vivaient dans le même monde. « Melwys ! » Sa sœur lui attrapa rapidement le bras pour stopper le second coup que – sans l’intervention de la jeune femme – il aurait été incapable de retenir. Son ami s’éloigna, jugeant bon de mettre une distance de sécurité entre eux deux. « Tu es sérieux ?! Avec ma sœur ?! » Certes, elle était majeur et vaccinée, il était clair que si elle avait été là, c’était qu’elle était parfaitement consentante, mais là n’était pas la question. C’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. « Entre adultes consentants, je ne vois pas où est le problème ! » Il ne voyait pas où était le problème ; sans doute qu’il fallait lui faire un dessin. Pour ne pas voir où était le problème il fallait avoir un sérieux retard mental. « Je ne sais pas moi ! Peut-être qu’éventuellement tu es marié ! Peut-être que je n’ai pas envie de te voir forniquer avec ma sœur alors que tu es censé travailler et peut-être que je n’ai pas envie que lui refile la syphilis ou Dieu seul sait pas quel autre connerie que tu aurais pu chopper en t’envoyant en l’air avec la moitié des filles de la ville ! »  La porte du bureau encore ouverte, les cris avaient attirés quelques curieux auquel il ne faisait absolument pas attention, qu’ils aillent se mêler de ce qui les regardaient ceux là, ou qu’ils aillent terminer leur boulot tiens, ça pourrait être utile. « J’ai pas la syphilis. » il y avait dans sa voix comme un air blagueur qui n’arrangeait en rien la situation au contraire, Melwys était encore prêt à frapper et une nouvelle fois sa sœur l’arrêta alors que son ami reculait de plusieurs pas, jugeant que la distance de sécurité méritait d’être élargie. « Ça ne va pas tarder à ce rythme là ! » Ça pourrait lui servir de leçon si au moins il pouvait se chopper une connerie du genre, c’était finalement tout ce qu’il lui souhaitait, qu’il se choppe une bonne maladie bien crade l’abrutit. « Oh arrête, on dirait le discours d’un saint, ce que tu n’es pas. » Nouvelle tentative pour s’approcher de son ami et lui en coller encore une, mais il y avait toujours sa sœur entre eux deux et il n’avait pas envie de lui faire du mal à elle. « Je suis pas marié moi et aux dernières nouvelles, je me tape pas ta sœur eu beau milieu de mon bureau. » Le haussement d’épaule de son vis-à-vis lui donnait à présent des envies de meurtres. « Je n’ai pas de sœur. » Il leva les yeux au ciel, comme si c’était le détail à préciser en cet instant, comme s’il ne comprenait pas où il voulait en venir. « Mais tu as une femme bordel ! » A son tour, il leva les yeux au ciel, de cet air blasé comme à chaque fois qu’ils parlaient de Maysilee. Cet air qui laissait, tellement voir à quel point il se fichait de la jeune femme. « Si tu t’inquiètes autant pour elle, tu as qu’à aller la baiser toi, je m’en fous. » Cette fois, il poussa sa sœur avec force sans se soucier de la chute qu’elle fit, il se jeta sur Alastair, bien décidé à lui refaire le portrait ; il y avait des choses qu’il ferait mieux de garder pour lui et cette réplique, elle en faisait clairement partie. Finalement ce fut, deux mecs de la sécurité qui débarquèrent pour les arrêter, alors qu’ils en étaient vraiment arrivés à se taper dessus comme deux imbéciles. Enfin loin l’un de l’autre il s’appliqua à remettre en place son costume, comme pour garder le peu de dignité qui lui restait encore, quoi qu’il n’était pas celui qui devait avoir le plus honte en cet instant, il n’aurait en tous cas, pas dû l’être. Il pointa son ami du doigt d’un air féroce. « J’en ai fini avec toi. Je suis ton collègue, ton associé parce qu’il faut que cette entreprise tourne, mais ça s’arrête là. On n’est plus ami. » Sans lui laisser le temps de répliquer, de toute façon, il ne voulait plus entendre le son de sa voix, il se tourna vers sa sœur. « Et toi tu dois carrément être désespérée pour devenir l’une de ses putes. » Il venait carrément d’insulter sa sœur, sans doute qu’il finirait par le regretter tôt ou tard, mais pour l’heure, ça n’avait pas d’importance. Bien vite il quitta le bureau, se frayant un chemin dans la foule qui s’était regroupé près de la pièce. Il devait sortir de là et vite.

spencer martell et alastair drake
Ils se connaissaient depuis toujours. Le paternel Drake avait été le meilleur ami du Martell et ainsi c'était très souvent qu'Alastair venait à la maison ou que Spencer et son frère se rendaient chez Alastair. Il était le meilleur ami de son frère, tous les deux semblaient être unis comme les doigts de la mains et si quand ils étaient petits, Spencer était souvent de trop dans leurs jeux, cette stupide princesse qui se faisaient toujours enlevée par le méchant ; au fil des années, en grandissant elle était devenue cette jeune femme incroyablement séduisante, qui n'avait pas laissé Alastair indifférent. Elle était une conquête de plus à ajouter à sa liste, déjà adolescent, il n'était pas du genre à se perdre en histoire d'amour. Il avait été sa première fois, âgée de dix-sept ans et bien vite engrossée. Jamais elle n'avait donné le nom du père à sa famille et jamais elle n'avait dit à Alastair pourquoi elle avait disparu pendant presque un ans, exilée soit disant en France, c'était devenu un secret de famille que même les Drake, pourtant si proche des Martell ignoraient.

Ils se sont retrouvés bien des années plus tard à travailler dans la même boite et c'est la même attirance que celle qui les avait unis des années plus tôt qui les avaient poussé à recommencer, une histoire rapide, dans le bureau du jeune homme, ce jour la ils avaient été interrompu par Melwys, lui qui n'avait jamais rien su de leurs histoire commune, une dispute éclata, les choses se compliquèrent en un rien de temps et pourtant, tous les deux n'ont que faire des paroles de Melwys aujourd'hui, ils font bien ce qu'ils veulent, comme ils l'avaient fait des années plus tôt. Aux yeux de Spencer, il est tant que le jeune homme soit au courant de l'enfant dont il est le père, l'enfant qu'on leur a volé et qu'elle est décidée à récupérer, persuadée qu'avec son aide ce sera plus simple, c'est un secret de famille qu'elle est prête à faire éclater. ~ scénario du personnage.

maysilee williams et alastair drake
Il était celui qu’elle détestait le plus. Elle, la petite fille trop gentille et trop naïve, elle avait fini par le détester. Jamais elle ne l’avait dit, elle s’était simplement contenté de s’écraser sur son passage, de le laisser parler en essayant de l’oublier. En grandissant, elle avait compris que l’ignorer était la meilleure chose qu’elle puisse faire. Il n’en valait pas la peine. Pourtant, un jour, il était revenu dans sa vie, lui qui avait tout pour réussir sa vie, lui qui aurait pu avoir tout ce qu’il désirait, il était revenu vers elle. Il était devenu gentil avec elle, agréable, charmant. Elle avait juste pensé qu’il avait grandi, qu’il avait pris en maturité, qu’il avait changé. Alors, ce nouveau Alastair, elle avait fini par l’aimer. Erreur fatale. Elle l’ignorait, mais il était toujours le même. Egoïste, ambitieux, il ne s’intéressait à elle que parce que, du jour au lendemain, elle était devenue la fille de l’un des hommes les plus importants de la ville. Il se fichait bien des sentiments de la jeune femme, il se fichait bien de la faire souffrir un jour, tout ce qui l’intéressait, c’était son père. C’est comme ça, qu’il en était arrivé à lui demandé sa main, après plusieurs années d’une relation qui n’allait que dans un sens. Une relation basée sur les mensonges que la naïveté de la jeune femme ne pouvait pas comprendre. Il rentrait souvent tard, il avait des tas de réunions et jamais elle ne se posait la moindre question. Ses réunions étaient pourtant peu conventionnelles, de celles qui commencent dans un bar et qui se terminent dans un lit. Elle n’en savait rien et selon les plans du jeune homme, elle n’en saurait jamais rien. Lui, il ignorait que Melwys irait un jour tout raconter à la jeune femme, tout comme il ignorait qu’elle serait assez naïve pour ne pas le croire. Ça n’avait pas d’importance ses plans semblaient parfaits. Pourtant, le soir même su mariage, elle l’avait surpris avec une autre. Elle s’était contentée de s’éclipser pour aller pleurer plus loin. Ils étaient mariés et puisque le sort semblait s’acharner contre eux, elle était enceinte, un bébé qui, à présent semble bien correspondre aux plans du jeune homme. Avec cet enfant, voilà la preuve que leur mariage est vraiment parfait, une chance pour lui, rendre Maysilee heureuse, c’est caresser son père dans le sens du poil. Heureuse, au moins en apparence, le reste, Alastair s’en fiche.






Dernière édition par Melwys Martell le Lun 3 Mar - 18:04, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: (M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum. (M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum. Icon_minitimeLun 3 Mar - 18:09



Amis du soir bonsoir, amis du jour bonjour, amis du sexe, durex :héé: 

Toi qui lit ce blabla, toi qui a lu mon scénario, toi que j'aime déjà rien que pour ça, et que j'aimerais encore plus si tu t'inscris avec mon petit scénar tout chou, voilà des indications essentielles que je me dois de te fournir :

◊ le pseudo est parfaitement négociable, s'il ne vous plait pas, faites vous plaisir :a:
◊ sebastian est négociable, n'hésitez pas à proposer quelqu'un d'autre :a:
◊ forcément, j'aimerai quelqu'un d'actif, sinon, ça sert pas à grand chose je suppose. Niveau Rp, je ne suis pas exigeante, je crois, mais j'ai une préférence pour les rps complets, il me fait bien des explications pour comprendre les choses, je suis stupide moi   et j'aime pas beaucoup quand y a trop de fautes, c'est caca les fautes, mais j'en fais, parce que je suis stupide humaine et qu'on est pas toujours au taquet sur ce qu'on écrit xD

VOILA :staff: 
Tout est dit. Je remercie de tout mon être celui qui prendra ce scénario, je lui promets de lui faire plein de bébés :bed: et je lui préparerai même son dîner parce que je suis bonne cuisinière (c'est absolument faux je suis un pire boulet, les gens m'interdisent de m'approcher de la cuisine chez moi :lol: ), et même que je lui donnerais mon âme, mon corps et tout ce qu'il voudra  :déb:
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(M/LIBRE) STAN ♦ pain was beating like a drum.

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